3 années de travail sur un véhicule qui au premier coup d’oeil pouvait sembler être en plutôt bon état. En y regardant de plus près, c’était pourtant une épave : plus de plancher cabine, plus de tableau de bord, un bloc moteur ouvert à tous les vents, plus de bougies, plus de collecteurs, de carburateur, de dynamo, plus de rampe de culbuteurs, des pneus disparates, les boiseries de la benne en très mauvais état, on pourrait continuer la liste… La restauration s’est terminée par le passage au Contrôle Technique et par une inauguration en règle où l’on brisa une bouteille de Champagne sur le pare-choc.